"F" comme fake news mais aussi comme force et conviction...
Vif succès à Eygalières lors de la conférence de PAROLE VIVE
sur les Fake news, ces fausses nouvelles qui envahissent les
réseaux sociaux, et même parfois les médias officiels, dans le but
de nous manipuler. Plus d'une centaine de personnes s'étaient
réunies ce samedi 26 dans la toute nouvelle salle des mariages de
la mairie d'Eygalières pour écouter le journaliste Claude Weill,
assisté de Ben Cramer et de Robert Namias. Ce sujet avait été
choisi par PAROLE VIVE en raison de l'importance grandissante des
réseaux sociaux et de leur influence auprès d'un public qui doute
de la voix officielle et ne sait plus à quel saint se vouer.
Ainsi que le rappelait Claude Weill, si les rumeurs qui couraient
il y a 50 ans (elles ne s'appelaient pas encore Fake News) se
propageaient à la vitesse d'un cheval au pas, aujourd'hui, elles
touchent des millions de personnes en quelques clics et quelques
secondes.
Au travers de l'exemple récent du "blessé dans une mare de sang" de l'université de Tolbiac, Claude Weill a démonté par le menu comment une fake news naît, se développe et acquiert très vite une force difficile à délégitimer. D'autres exemples célèbres furent également analysés, le vrai-faux charnier de Timisoara, l'affaire Baudis qui secoua la ville de Toulouse et mit en émoi toutes les rédactions avant d'être totalement démentie.
Que faire contre les Fake news ? Claude Weill ne croit pas que la loi puisse grand chose ni même punir les auteurs des "fausses nouvelles technologiques". Comment faire pour les identifier, et que faire lorsque ceux-ci sont hors de France ? Il croit plus volontiers à l'esprit critique de chacun et au bon sens dont on peut faire preuve face à une "nouvelle" un peu trop juteuse.
Le débat se clôtura comme il se doit autour du verre de l'amitié où chacun put à loisir converser et échanger avec les trois journalistes.
D'ores et déjà, PAROLE VIVE prévoit d'autres conférences et tables rondes sur des sujets de société aigus qui préoccupent les français. Prochainement, PAROLE VIVE invitera un spécialiste de la "Terre" qui parlera de l'Agriculture comme nouvel art de vivre le vendredi 22 juin à 18h30 à la Maison des Consuls d'Eygalières.
Au travers de l'exemple récent du "blessé dans une mare de sang" de l'université de Tolbiac, Claude Weill a démonté par le menu comment une fake news naît, se développe et acquiert très vite une force difficile à délégitimer. D'autres exemples célèbres furent également analysés, le vrai-faux charnier de Timisoara, l'affaire Baudis qui secoua la ville de Toulouse et mit en émoi toutes les rédactions avant d'être totalement démentie.
Que faire contre les Fake news ? Claude Weill ne croit pas que la loi puisse grand chose ni même punir les auteurs des "fausses nouvelles technologiques". Comment faire pour les identifier, et que faire lorsque ceux-ci sont hors de France ? Il croit plus volontiers à l'esprit critique de chacun et au bon sens dont on peut faire preuve face à une "nouvelle" un peu trop juteuse.
Le débat se clôtura comme il se doit autour du verre de l'amitié où chacun put à loisir converser et échanger avec les trois journalistes.
D'ores et déjà, PAROLE VIVE prévoit d'autres conférences et tables rondes sur des sujets de société aigus qui préoccupent les français. Prochainement, PAROLE VIVE invitera un spécialiste de la "Terre" qui parlera de l'Agriculture comme nouvel art de vivre le vendredi 22 juin à 18h30 à la Maison des Consuls d'Eygalières.
Dario Pellegrini, président de Parole vive, présente le programme |
Une assemblée très intéressée pour capter les "news" ! |
Claude Weill, passionné de l'information |
Ben Cramer interrogatif sur le "sens" à donner aux fake news |
Robert Namias, intarissable sur le journalisme et sa responsbilité... |
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