Résumé de l'intervention de Jacques Hallard (à reprendre sur son site ISIAS) https://isias.info/
« Les nouvelles routes de la soie », terrestres et maritimes, sont une extrapolation à l’échelle mondiale des anciens axes d’échanges commerciaux, techniques et culturels entre le Chine et l’Occident. De ces millénaires d’histoires et civilisations émerge aujourd’hui une volonté politique de puissance hégémonique de la Chine. Mais ce projet expansionniste et le modèle de « Belt and Road Initiative » de Xi Jingping (Initiative La Ceinture et la Route) ne montrent-ils pas d’ores et déjà leurs limites ? »
« La Route de la soie » a été, au cours de l’Histoire, un faisceau de routes, terrestres mais aussi maritimes : on peut donc parler “des” routes de la soie, par lesquelles transitaient de nombreuses marchandises, ainsi que des techniques, des idées, des religions. Ces routes monopolisèrent les échanges Est-Ouest pendant des siècles ».
C’est seulement en 1877 que ces voies d’échanges entre l’Orient et l’Occident furent dénommée « Route de la soie » par le Baron Paul Wilhelm Ferdinand von Richthofen (1833-1905), un allemand géographe, géologue et ethnologue en Transylvanie et en Chine, qui était alors chargé de dessiner le tracé d’une future voie de chemin de fer entre l’Allemagne et sa zone d’influence en Chine…
Plus de 150 pays participent un vaste projet d'infrastructures : d'énormes prêts accordés pour financer la construction de ponts, de ports, de voies ferrées ou d'autoroutes dans le cadre des Nouvelles routes de la soie. Lancées il y a dix ans sous l'impulsion du président Xi Jinping
La Chine détient plus de 1.100 milliards de dollars de créances...
Chine = 1er percepteur officiel de dettes au monde !
Une assemblée de 60 personnes attentives |
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